Les Pendules de l’École de Bruxelles

En 1887, l’ Œuvre des Ecoles Professionnelles et des Métiers fonde sous le haut patronage du Comte Adrien d’Oultremont l’ École Nationale d’Horlogerie qui s’installe dans les locaux de l’ancien Palais de Justice, rue de Dinant, dans le centre de Bruxelles.

Cette institution se transforme dès 1890 en Ecole Nationale d’Horlogerie, Électricité et Petite Mécanique et occupe alors les bâtiments du Palais du Midi.

Elle devint ensuite l’École Professionnelle de Mécanique de Précision et d’Électricité de Bruxelles, et fit partie de l’Institut des Arts et Métiers, situé au Boulevard de l’Abattoir.  Cette institution avait la réputation avant la Deuxième Guerre Mondiale d’être au plus haut niveau mondial pour la formation des horlogers.

 

En fin de formation, les meilleurs étudiants devaient  fabriquer de toutes pièces un régulateur de précision, qui allait les accompagner pour le restant de leur carrière, comme pièce de démonstration de leur savoir-faire et comme pièce maîtresse donnant l’heure avec précision pour le réglage des autres pièces horlogères.

La tradition de cette prestigieuse école voulait que le boîtier soit lui aussi exécuté par ses étudiants en ébénisterie, qui utilisaient les meilleurs matériaux et méthodes d’assemblage de l’époque. Le style des boîtiers suivait la mode du moment. Le type ne semble pas avoir été imposé, car il y a de nombreuses exceptions.

Les plus anciennes pièces connues sont datées 1901 et les plus récentes, 1935. Le style de la partie technique est pratiquement identique et devait suivre un plan imposé.

La dernière promotion de la section d’horlogerie de l’école a eu lieu en juin 1989 et ne comptait plus que deux élèves. Le bâtiment du plus pur style Art Déco existe toujours, et abrite l’Institut des Arts et Métiers, il est situé au N°50, Boulevard de l’Abattoir.

Jacques Nève, Expert CNES en Horlogerie

En 1887, l’ Œuvre des Ecoles Professionnelles et des Métiers fonde sous le haut patronage du Comte Adrien d’Oultremont l’ École Nationale d’Horlogerie qui s’installe dans les locaux de l’ancien Palais de Justice, rue de Dinant, dans le centre de Bruxelles.

Cette institution se transforme dès 1890 en Ecole Nationale d’Horlogerie, Électricité et Petite Mécanique et occupe alors les bâtiments du Palais du Midi.

Elle devint ensuite l’École Professionnelle de Mécanique de Précision et d’Électricité de Bruxelles, et fit partie de l’Institut des Arts et Métiers, situé au Boulevard de l’Abattoir.  Cette institution avait la réputation avant la Deuxième Guerre Mondiale d’être au plus haut niveau mondial pour la formation des horlogers.

 

En fin de formation, les meilleurs étudiants devaient  fabriquer de toutes pièces un régulateur de précision, qui allait les accompagner pour le restant de leur carrière, comme pièce de démonstration de leur savoir-faire et comme pièce maîtresse donnant l’heure avec précision pour le réglage des autres pièces horlogères.

La tradition de cette prestigieuse école voulait que le boîtier soit lui aussi exécuté par ses étudiants en ébénisterie, qui utilisaient les meilleurs matériaux et méthodes d’assemblage de l’époque. Le style des boîtiers suivait la mode du moment. Le type ne semble pas avoir été imposé, car il y a de nombreuses exceptions.

Les plus anciennes pièces connues sont datées 1901 et les plus récentes, 1935. Le style de la partie technique est pratiquement identique et devait suivre un plan imposé.

La dernière promotion de la section d’horlogerie de l’école a eu lieu en juin 1989 et ne comptait plus que deux élèves. Le bâtiment du plus pur style Art Déco existe toujours, et abrite l’Institut des Arts et Métiers, il est situé au N°50, Boulevard de l’Abattoir.

Jacques Nève, Expert CNES en Horlogerie

Boîtiers

Plusieurs modèles principaux ont été identifiés :

Le régulateur de table de style « Eclectique » avec boîtier en placage de poirier noirci ou de chêne poli est le modèle le plus ancien.

André De Jonghe 1922 et Marcel Dequinze 1912

Le régulateur de table de (style) « années 20 » « entre deux » ou « indescriptible » qui semble fort heureusement n’avoir subsisté qu’une seule année : 1927.

Charles de Pauw 1927

Le régulateur de table de style « Art Déco » avec boîtier de chêne poli (généralement) ou d’acajou (rarement). De facture très soignée et solide, il est bâti à partir de chêne scié sur quartier et composé de vitres sur les quatre faces, qui mettent en valeur les formes géométriques de l’ensemble tout en servant d’écrin au mécanisme. Sa structure de forme trapézoïdale, de construction rigoureuse avec décorations échelonnées et chapiteau légèrement triangulaire, est directement inspirée des pendules de l’architecte et décorateur liégeois Gustave Serrurier-Bovy (1858-1910), figure majeure du renouveau du décor intérieur en Belgique.

Francis Breyne 1931

Le régulateur de table de style personnel.

François Frewin 1924

Jean De Greef 1925

Jean Delvaux 1927, base et amortissemnt en onyx, cage en laiton doré et verre. Photo © Salle de Ventes ROPS

Le régulateur de table en boîtier rectangulaire.

Louis Vanhoolandt 1935

Léandre Huyghebaert 1911

Le grand régulateur mural ou de parquet.

Le boitier de ces régulateurs est généralement construit à partir de chêne scié sur quartier, et présente une  vaste étendue de rayons médullaires caractéristiques de cette technique de coupe. Ces rayons, comparables à un réseau de transport, vont de la partie vivante de l’écorce jusqu’à la moëlle du bois, et permettent à l’arbre de se nourrir.  De forme souvent ondulée, ils se situent presque perpendiculairement aux fibres du bois et s’harmonisent très bien avec le grain ordinaire du chêne. Ce type de sciage a pour avantage de renforcer la stabilité du bois et d’éviter les diverses déformations, ondulations et rétrécissements liés à la technique traditionnelle de coupe.

Richard Volkaerts 1920

Leurs mouvements, bien que similaires à ceux des régulateurs de table, avaient quelques différences d’importance :

  • La force motrice est produite par un poids mouflé.
  • Dans presque tous les cas, la course du poids se faisait sur toute la hauteur du boîtier, grâce à un renvoi de câble situé dans le coin supérieur droit. Cela permettait une autonomie de plus de quinze jours.
  • Le balancier bat la seconde, permettant l’ajout d’une trotteuse centrale du plus bel effet.

Le balancier est suspendu à la plaque fixe de support du mouvement à l’arrière du boîtier, évitant ainsi le stress de déformation sur la partie mécanique.

Rayons médullaires bien visibles horizontalement sur cette découpe de chêne, pendule de Franky Borckmans 1934

Cadrans et aiguilles

Les cadrans étaient tous en laiton tourné, gravés à la main, remplis ciré noir et argentés. Sauf exception, d’un modèle classique à chiffres romains pour les heures avec un simple rail externe pour les minutes.

La dénomination de l’école (en demi-cercle), « de Bruxelles » (horizontalement, au dessus du centre),  le nom de l’élève artisan et la date de réalisation (horizontalement, sous le centre) étaient gravés. L’écriture utilise la même police sur tous, ce qui donne à penser que le même graveur les ait tous réalisés, au moins à partir de 1912. Le dernier de ces cadrans datant de 1935, ce graveur aurait été actif pour l’école sur une période d’au moins 24 ans, ce qui est tout à fait plausible. 

Le plus ancien cadran connu, daté 1901 et signé Jean VANDENBOSCH (illustré plus bas), a une police de caractère différente, il a peut-être été gravé par un autre artisan.

Les aiguilles sont aussi toutes du même type, l’ « As de Pique » (poire), en acier revenu bleu au feu.

Trois tailles différentes existent :

Petit : diamètre 15 ,5cm, pour les régulateurs de table avec balancier pendu en haut du mouvement et remontoir sous le centre.

Moyen : diamètre 18cm, pour les régulateurs de table avec balancier pendu en bas du mouvement monté de haut en bas et remontoir au-dessus du centre

Le petit cadran de Franky Borckmans 1934 et le cadran moyen de Jean De Greef 1925. La lunette reste d’épaisseur égale, mais les proportions changent. Le petit cadran est utilisé pour les mouvements à disposition classique, le cadran moyen utilise les mouvements de bas en haut avec remontoir au-dessus du centre

Grand : diamètre 24cm, pour les grands régulateurs muraux.

Richard Volkaerts 1920

Selon les dates suivantes, on notera aussi l’évolution de la dénomination de l’école :

ECOLE NATIONALE D’HORLOGERIE – BRUXELLES (1901-1903).
Sur cette première génération de cadrans, la ville ou le village d’origine de l’élève étaient indiqués : Bruxelles pour Jean Vandenbosch (ci-dessus) ou Hundelgem pour Hubert Blaton en 1903.

ECOLE PROFELLE DE MÉCANIQUE DE PRÉCISION D’HORLOGERIE ET D’ELECTRICITÉ DE BRUXELLES (de 1911 à 1915)

ECOLE PROFELLE DE MÉCANIQUE DE PRÉCISION ET D’ELECTRICITÉ DE BRUXELLES (de 1917 à 1934)

I.A.M  – E.M.P.E – BRUXELLES (en 1935)

Partie technique

Mouvement :

Marcel Dequinze 1912

Marcel Dequinze 1912

Le barillet contient un ressort puissant qui, une fois remonté, fournit la force nécessaire au mouvement de la pendule

Marcel Dequinze 1912

Marcel Dequinze 1912

Le barillet contient un ressort puissant qui, une fois remonté, fournit la force nécessaire au mouvement de la pendule

Mouvement de construction extrêmement robuste à platines épaisses et quatre piliers tournés et vissés de part et d’autre, force motrice par un ressort dans un barillet permettant une autonomie de 21 jours. Leur construction devait suivre un schéma bien défini, sur plans. Les platines ont une finition marbrée de grande finesse, toutes les vis sont tournées et polies, et la qualité des rouages et de leur assemblage est très haute. L’échappement à ancre Graham très épaisse, sans recul, fixe dans les régulateurs de table et à serrage gras dans les régulateurs muraux.

Mouvement et haut du balancier de la pendule d’Albert Haute, 1933.
L’échappement est constitué de l’ancre sur son axe et de la roue d’échappement. Cet ensemble est le cœur de la pendule, qui permet de réguler son fonctionnement

Des variations existent quant aux réalisations finales, certaines pendules de table étaient plus hautes, avec le balancier accroché au bas du mouvement, qui était placé avec le barillet en haut et l’échappement en bas. Un autre possède une sonnerie « à la française » avec roue de compte ; les régulateurs muraux ont un comptage de roue différent, et sont équipés d’un maintien de force qui empêche l’interruption de la force motrice lors du remontage manuel du poids.

Balanciers.

Pour les régulateurs de table, les balanciers sont tous du même modèle : lentille en laiton tourné avec micro-réglage gradué pour l’ajustement de la fréquence (avance-retard), réglage à molette pour l’aplomb. Toutes les pièces en acier, laiton doré et tige principale en bois résineux (le moins susceptible aux différences de température et d’humidité), ou acajou. Suspension à double lamelle d’acier, montée avec pivot mobile.

La suspension contient une fine double lamelle d’acier très flexible, qui permet au balancier d’osciller de gauche à droite

Albert Haute 1933

Au moins une exception connue avec une variation originale du balancier d’Ellicott.

François Frewin 1924

Pour les régulateurs muraux, les mêmes règles, avec une tige en invar et un cylindre d’acier contenant soit du mercure, soit du plomb.

Richard Volkaerts 1920

L’invar est un alliage de fer (64 %) et de nickel (36 %) qui doit son nom à son très faible coefficient de dilatation, 6 à 10 fois plus faible que celui des aciers courants. Cette propriété en fait un alliage très prisé pour les applications cryogéniques, les appareils de mesure -dont les montres et les pendules- et les pièces pour l’électronique.

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En savoir plus

La mise au point de l’invar est une longue histoire qui commence à la fin du XIXème siècle quand le Comité International des Poids et Mesures, à la recherche d’une solution parfaite pour le mètre-étalon de second ordre, charge Charles Edouard Guillaume, physicien suisse au BIPM, d’étudier la question. En 1896, la société Imphy, implantée dans la Nièvre, livre à C. E. Guillaume un alliage à 30% de nickel possédant un faible coefficient d’expansion. Guillaume sollicite alors H. Fayol, directeur général des aciéries Imphy, qui accepte avec enthousiasme de collaborer avec le BIPM pour fournir plusieurs centaines de nuances d’alliages.

La collaboration Guillaume – Imphy contribue à améliorer les propriétés de ces alliages et à définir la composition d’un invar industriel avec un ajout de 0,1 % de manganèse et 0,4 % de carbone. D’autres éléments d’addition (Mg, Si, Co, Cr) peuvent contribuer à de meilleures propriétés mécaniques, d’ouvrabilité ou d’anti-corrosion. Depuis 1907, L’invar® est une marque déposée d’Imphy Alloys, filiale depuis quelques années d’Arcelor-Mittal. Dès 1911 Imphy avait développé un service d’études métallurgiques et une production industrielle depuis 1917. En 1920, C. E. Guillaume reçoit le prix Nobel de physique pour l’ensemble de ses travaux ; il fut directeur du BIPM de 1915 jusqu’à son décès en 1936.

Il ne faut pas oublier cependant à coté du BIPM l’action et les travaux d’un français, Pierre Chevenard. Né en 1888, ingénieur des Mines de Saint-Etienne et embauché en 1911 par H. Fayol dans la société métallurgique de Commentry et Decazeville pour suivre les recherches d’Imphy et notamment tous les développements des alliages fer-nickel. C’est sous sa direction que des alliages dérivés de l’invar, des aciers réfractaires et des aciers résistant à la corrosion pour l’industrie chimique virent le jour. Passionné par les mesures et l’instrumentation, on lui doit notamment le « Dilatomètre Différentiel Chevenard » qui fut largement utilisé dans tous les laboratoires de métallurgie et du solide.

(source : Société Chimique de France)

Accessoires.

Certains de ces régulateurs de table sont encore accompagnés de leur clé d’origine, selon le modèle imposé, avec les initiales de l’élève en découpe dans la poignée, et chromées.

Jean De Greef 1925

André De Jonghe 1922

Albert Haute 1933

Francky Borckmans 1934

Quelques-uns des régulateurs muraux possèdent aussi encore leur clé de remontage à molette, avec leur « crochet (support) à clé » dédié dans le boîtier.

Richard Volkaerts 1920

Richard Volkaerts 1920

Deux galvanomètres existent aussi, tous les deux mariés à leur pendule du même élève. On notera que dans les deux cas, les galvanomètres sont datés d’une année plus tard que leurs pendules correspondantes. La pendule d’André De Jonghe en 1922 associée à son galvano en 1923 ; et celle d’ Albert Haute en 1933, associée à son galvano en 1934.

André De Jonghe 1922

Albert Haute 1933

A ce jour, beaucoup de zones d’ombre subsistent encore sur la fabrication de ces régulateurs de qualité exceptionnelle.

Le plus ancien connu date de 1901 (Jean Vandenbosch) et le plus récent de 1935 (Louis Vanhoolandt). Sans certitude, il semble que la tradition de réalisation de ces pièces par les élèves de l’Ecole Nationale d’Horlogerie comme travail de fin d’études daterait de la fin du XIXème siècle.

Albert Haute 1933

Albert Haute 1934

Georges Burggraeve 1917

Le fait que plusieurs pièces du même style aient été réalisées par des élèves différents la même année (1927 entre autres) prouve bien qu’il s’agissait ici de travaux individuels, et non de travaux d’équipe.

La dernière guerre aurait-elle mis fin à ces projets, difficile à déterminer. Il ne reste probablement plus d’horloger réalisateur d’une de ces pièces encore vivant. Un rapide calcul nous montre qu’un élève qui aurait 18 ans en 1935 serait aujourd’hui plus que centenaire.

La section « Horlogerie » de l’Ecole ferma définitivement ses portes en 1989, la dernière classe ne comportait plus que 2 élèves ; l’un d’eux est un des meilleurs horlogers belges encore en exercice.

Quelle était la distinction entre l’enseignement technique sur la partie « Horlogerie » et sur la partie « Electricité », cette dernière était probablement un module d’un an supplémentaire à l’horlogerie. La relation entre les deux sections distinctes devait cependant être étroite, on notera la réalisation de galvanomètres par des horlogers (voir plus haut) et même la réalisation d’un régulateur mural à pulsion électrique par Georges Burggraeve en 1917.

La Première Guerre n’a pas interrompu les cours ni la production des régulateurs, bien que Bruxelles fût sous la botte de l’Allemagne Impériale. Les matériaux tels que le laiton étaient entièrement réquisitionnés pour l’effort de guerre, et pourtant l’école produisait, sans aucune diminution de taille ou d’épaisseur des mouvements ou cadrans. Les autorités d’occupation voyaient-elle un intérêt supérieur à la formation d’artisans qualifiés, plutôt qu’à la réquisition de leurs matériaux qui aurait empêché toute pratique ? On notera plusieurs œuvres datées de 1915 (Paul D’Henin), 1917 (Georges Burggraeve) et 1918 (François Joris) respectivement.

Les parties techniques réalisées par les élèves nous laissent aussi des questions. Bien qu’il existe des plans précis de toutes les pièces à fabriquer, il est possible qu’une partie d’entre elles étaient faites par les élèves mécaniciens, selon un modèle imposé. Une latitude d’exécution devait exister, au vu des différences dans les modèles produits. La qualité de finition aussi varie, mais le niveau minimum est déjà exceptionnellement élevé. Si certains élèves pouvaient obtenir 85 à 90% de note d’appréciation, d’autres obtenaient certainement 95% ou plus.

Avec mes remerciements à Michaël Van Gompen (Membre Correspondant CNES), Eward Ruyter, Johan Goyvaerts et Eddy Fraiture pour leur aide, photos et documentation.

Annexes

Le balancier, standard pour tous les régulateurs de table

L’ensemble cliquet jusqu’à 1930 environ, il fut simplifié ensuite

Roues montées

Barillet

Echappement, jusqu’à 1930 environ

Piliers, lunette et vis

Roues, ajourage

Ébauche d’ancre des régulateurs de table post-1930

Ancre du régulateur de table de Marcel Dequinze 1912

Ancre du grand régulateur mural de Richard Volkaerts 1920

Modèle d’école de l’ensemble cliquet jusqu’à 1930 environ, manquent la roue de cliquet et son axe

Deux modèles d’école de l’ensemble cliquet post-1930

Liste des  pièces de maîtrise connues par ordre chronologique :

1901 Jean Vandenbosch – Bruxelles

1903 Georges Carthé

1903 Hubert Blaton – Hundelgem

1911 Léandre Huyghebaert

1912 Marcel Dequinze

1915 Paul D’Henin

1917 Georges Burggraeve

1918 François Joris

1920 Richard Volkaerts

1920 (possible) non daté Fernand Lust

1920 Guillaume Van Haelen

1921 Edgard Gautier

1921 Paul Nicaise

1922 André De Jonghe

1923 Marcel Bayot

1923 Henri Vanderelst

1923 Marcel Freson

1923 (possible) non daté Anonyme

1924 François Frewin

1925 Jean De Greef

1925 Paul Duyckers

1927 Albert Julet

1927 Jean Delvaux

1927 Charles De Pauw

1928 Emile Mertens

1929 Leo Ritzen

1930 René Gianfreda

1931 Albert Van Geel

1931 Francis Breyne

1931 Marcel Van Impe

1931 Raymond Gardeur

1933 Albert Haute

1933 Marcel Claes

1934 Franky Borkmans

1935 Georges Amerijckx

1935 Louis Vanhoolandt

ADDENDUM COMPARATIF

UNE PENDULE DE L’ECOLE D’HORLOGERIE DE PARIS

Régulateur de table de précision, oeuvre de maîtrise d’un élève de l’Ecole d’Horlogerie de Paris, vers 1925